L’enfant joue avec l’oiseau mourant
Entre ses mains frémissantes
Sans se soucier qu’il se noie en nageant
Ou qu’il atteigne la rive en amont!
Je t’en prie, Tanger,
Parle-moi de ces exilés,
Combien en as-tu vu de disparus ?
Combien en as-tu vu de bienvenus ?
Ils voulaient s’enfuir, mais pas nous quitter
Ils étaient assoiffés d’air et de liberté
Lequel des oiseaux sera élevé
Dans la soif et la mendicité ?
Fuite… Fuite…
Celui qui atteint la rive se livre aux détresses
Celui qui se noie, nous laisse que tristesse.
Sentez-vous coupables ou bien êtes-vous sans cœur
Quand les pauvres se noient-ils sans pleurs?
Ceux qui profitent accumulent jeux et plaisirs
D'autres emprisonnés veulent fuir
Leur vie amère et rêvent d'une belle vie,
Sans jamais atteindre le paradis!
As-tu acheté ton exil
Ou est-ce le reste de tes jours en péril ?
Ta vie ne tient qu'à un fil
Ta mort est au bout du fil!
Je pleure pour eux… on pleure…
Celui qui atteint la rive se livre aux détresses
Celui qui se noie, nous laisse que tristesse.
Quand les portes se ferment par malchance,
On essaye les « fenêtres »pour la délivrance!
Même s’ils doivent surmonter vagues et marées
Même si leurs jours sont comptés
Aidez les oiseaux à vivre heureux
Laissez-les atteindre les cieux!
Voilà ma parole…
Laissez-moi la parole…
Entre ses mains frémissantes
Sans se soucier qu’il se noie en nageant
Ou qu’il atteigne la rive en amont!
Je t’en prie, Tanger,
Parle-moi de ces exilés,
Combien en as-tu vu de disparus ?
Combien en as-tu vu de bienvenus ?
Ils voulaient s’enfuir, mais pas nous quitter
Ils étaient assoiffés d’air et de liberté
Lequel des oiseaux sera élevé
Dans la soif et la mendicité ?
Fuite… Fuite…
Celui qui atteint la rive se livre aux détresses
Celui qui se noie, nous laisse que tristesse.
Sentez-vous coupables ou bien êtes-vous sans cœur
Quand les pauvres se noient-ils sans pleurs?
Ceux qui profitent accumulent jeux et plaisirs
D'autres emprisonnés veulent fuir
Leur vie amère et rêvent d'une belle vie,
Sans jamais atteindre le paradis!
As-tu acheté ton exil
Ou est-ce le reste de tes jours en péril ?
Ta vie ne tient qu'à un fil
Ta mort est au bout du fil!
Je pleure pour eux… on pleure…
Celui qui atteint la rive se livre aux détresses
Celui qui se noie, nous laisse que tristesse.
Quand les portes se ferment par malchance,
On essaye les « fenêtres »pour la délivrance!
Même s’ils doivent surmonter vagues et marées
Même si leurs jours sont comptés
Aidez les oiseaux à vivre heureux
Laissez-les atteindre les cieux!
Voilà ma parole…
Laissez-moi la parole…
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