samedi 17 novembre 2018

18C/MOULOUD FERAOUN- LE FILS DU PAUVRE


C'est ainsi que j'ai fait la connaissance avec la morale et le rêve.
   
J'ai vu le juste et le méchant, le puissant et le faible,
   
 Le rusé et le simple.
    
Ma tante pouvait me faire rire ou pleurer.
  
 Certes je n'aurais jamais compati d'aussi bon cœur
    
 A un vrai malheur familial.
   
 Le destin de mes héros ne me préoccupait davantage
   
 Que les soucis de mes parents.
    
Tout cela parce que ma tante s'y laissait
  
 Prendre elle-même.
   
 A l'entendre raconter, on sentait qu'elle croyait
    
A ce qu'elle disait.
    
Elle riait ou pleurait tout comme son neveu.





















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