dimanche 18 novembre 2018

21.7C/POEME SI MUHAND U M’HAND

A celle qui m'a dit bonjour
Sois bénies par dieu
Qui t'accordera l'éternel bonheur
Une telle beauté m'est respectueuse
Fille aux yeux de perdrix
Quoique je suis un errant
ô,Dieu le grand penseur
Prends compte de mon appel
Exauce-lui ses vœux
Au corps décharné
Qui découche dans les bois
Lorsqu'elle était jeune fille
Elle errait dans les prés
Telle une vache parmi le bétail
Et voilà qu'elle devint sainte
Pratique ses prières
Oubliant ses mauvaises mœurs.

 Etain d-innan sbah lxir
Ad-comme -yefk di lxir
Mennagh ad yagwar fellas
Yiwet am et di-tehqir
Mm taâyunin n ttir
Tesni-i nek d ahewwas
A rebbi keç d lfakir
a-k-id n-etfekkir
efka-s je tebgha nniya-s
maççi suis tqejjirin n t-taydit
yeççan tisgnit
yetnusun à buneqar
asmi tella t-tilemzit
kul ighzer tebwdit
je travaille sur toi -gweqda
tura teqwel t-taharmit
tessen tazalit
amzun ur texdim lâar

https://poesieaa.blogspot.com/2018/11/217cpoeme-si-muhand-u-mhand.html



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