" Éboulez -vous montagnes ,qui des miens m'avez séparé .
Laissez à mes yeux la voie libre vers le pays de mon père bien-aimé
Je m'acharne en vain à l’ouvrage.
Mon cœur là-bas est prisonnier Paix et salut, ô mon pays !
Mes yeux ont parcouru des mondes
Ma vue est un orage de printemps
Dans les tumultes des neiges fondantes
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